Sharon Stone, bannie d’un site de rencontres !

Ce n’est pas parce qu’on est une superstar qu’on n’a pas le droit de succomber à la tendance des rencontres virtuelles. Pour trouver l’amour, tous les moyens son bons. Et à 61 ans, Sharon Stone ne supporte plus son statut de célibat. L’héroïne de « Basic Instinct » n’a rien perdu de son sex appeal, mais comme des millions de gens, elle galère pour trouver chaussure à son pied. Du coup, elle s’est lancée dans l’aventure hasardeuse de ces nouvelles applis à la mode pour tenter de dénicher la perle rare. Sauf que pour la majorité des abonnés du site en question, « Bumble », difficile d’imaginer qu’il s’agit réellement de la vraie « Sharon Stone ». Dans cet univers cruel du fake, dur de démêler le vrai du faux. Donc, comme de bien entendu, nombreux sont ceux qui ont signalé ce compte, persuadés d’une imposture. Résultat des courses : la star a été exclue de la plateforme de rencontres. En colère, elle mène depuis un combat acharné pour être prise au sérieux et prouver sa crédibilité. Elle a même expliqué en détail cet incident sur ses comptes Twitter et Instagram, dénonçant ce bannissement sans fondement. En guerre contre le site, l’actrice américaine est révoltée par cette exclusion : « Hello Bumble. Est-ce qu'être moi signifie que je ne peux participer ? Ne m'excluez pas », a-t-elle écrit. A quoi l’équipe du site à très vite répondu : « Il ne peut y avoir qu'une reine Stone. Apparemment, nos utilisateurs se sont dit que c'était trop beau pour être vrai. Mais nous avons fait en sorte que vous n’en soyez plus jamais bloquée ». Sauf qu’au lieu du déblocage, son compte a carrément été supprimé. De quoi mettre Sharon encore plus en colère. Dans un récent tweet, elle tacle à nouveau l’application : « Cher Bumble, tu confonds mon honnêteté avec tes fantasmes. Tu pénalises les hommes et les femmes inscrits. Je suis Sharon. Je suis une femme. » Finalement, après une enquête approfondie, son profil est à nouveau en ligne. Tout est bien qui finit bien. C’est même un sacré happy-end puisque grâce à cette méprise, les prétendants se bousculent désormais sur son compte…