La saga de l’été continue. Les ex-amants maudits continuent de se faire la guerre publiquement. Tout a commencé avec Pamela Anderson qui a littéralement accusé Adil Rami de violences conjugales. L’intéressé en a d’abord voulu à l’actrice américaine de laver son linge sale en public. Maintenant, face à toutes ces accusations, le footballeur de l’OM n’en peut plus et se lâche à son tour sur les réseaux sociaux. Certes, il fait amende honorable en avouant avoir entretenu une relation clandestine avec la mère de ses jumeaux Sidonie Biémont, mais il nie complètement tout fait de violence à l'encontre des femmes. Il s’est ainsi exprimé à cœur ouvert sur Instagram : « Je tiens à vous dire que ces accusations de violences sont complètement fausses et je peux pas laisser passer ça. J’hallucine tellement c’est grave. Ceux qui me connaissent savent qui je suis et mes valeurs. Ils savent que c’est impossible et que j’en suis incapable. Si elle voulait me toucher elle a bien choisi. Elle sait que mon engagement pour la cause des violences faites aux femmes est quelque chose de vraiment important pour moi. Je respecte trop les gens de solidarité femmes que j’ai rencontré et ce combat ! C’est vraiment dégueulasse. (…) Mentir pour garder une bonne relation avec son ex et ses enfants c’est une chose, mais utiliser des mensonges sur la violence pour me nuire, ça va trop loin et c’est injuste». Face à tout ce tapage médiatique, Sidonie Biémont est même sortie du silence en affirmant qu’en six de relation, Adil Rami n’a jamais démontré le moindre signe de violence. En revanche, l’Association FNSF (Fédération nationale solidarité femmes qui œuvre en faveur des femmes battues) et dont le champion du monde était l’ambassadeur, a du suspendre son partenariat avec le joueur de l’OM le temps qu’il soit lavé de tout soupçon. « Après voilà je respecte la décision de l’association, ça m’attriste mais je respecte », a-t-il souligné.