Magnifique balade champêtre dans le Jardin des Tuileries

Pour ceux qui ont la chance de faire un saut au 1er arrondissement parisien, ne manquez pas de faire une halte au jardin des Tuileries où règne une délicieuse atmosphère romanesque et poétique. Et pour cause, cette ambiance bucolique haute en couleurs est le fruit d’une belle collaboration entre la griffe Kenzo Parfums et le Musée du Louvre. Au cœur de ce jardin emblématique de la capitale française, ces deux mécènes, qui partagent le même amour pour la nature, rendent hommage à la biodiversité et nous invitent à une formidable balade champêtre où les compositions florales nous enivrent de bien-être. Parisiens et touristes auront ainsi l’occasion d’admirer une majestueuse floraison de lavandes, pavots et herbes folles. Une parfaite palette florale, artistique et architecturale qui sera revisitée au printemps et en été. Rien de tel pour s’évader et s’offrir un bon bol d’oxygène. Et cette somptueuse prairie urbaine fait écho à la thématique du moment des expos éphémères du Louvres. Pour ouvrir le bal,  les paysagistes se sont inspirés de l’exposition « Le Corps et l’Ame, de Donatello à Michel Ange. Sculptures italiennes de la Renaissance » : les compositions oscillent entre des camaïeux de rouge flamboyant pour les mouvements violents, des nuances de rose et mauve pour incarner la grâce des drapés légers. Le tout entourant le vert vaporeux et luxuriant à perte de vue. Aussi, durant les trois prochaines années, le Jardin des Tuileries sera le théâtre de cette floraison exceptionnelle où sont prévus pas moins de 60 000 bulbes de fleurs plantés par an. En prime, pour les amoureux d’art, un panneau explicatif viendra préciser le lien existant entre les œuvres exposées et la description des fleurs. Quand Kenzo et le Louvre joignent leur passion pour embellir le monde et le rendre plus attrayant, autant dire que l’exaltation et l’émotion sont au rendez-vous !

Photographe © Stanislas Liban

Merci au domaine national du musée du Louvre et du Jardin des Tuileries.

 

Par Nafissa El Bouanani