Alors que la polémique continue autour du documentaire « Leaving Neverland » et que les clans sont bien divisés autour de nombreuses incohérences, de nouvelles révélations viennent de voir le jour. Coup de théâtre : c’est Dan Reed, le réalisateur lui-même de la vidéo qui avoue finalement que l’un des accusateurs aurait menti. Il faut avouer que depuis la sortie très controversée de ce documentaire accablant totalement Michael Jackson sur sa prétendue pédophilie, de nombreuses vidéos se sont enchaînées en parallèle pour contrer ces témoignages estimés faux et diffamatoires. Plusieurs fois remis en question, les propos poignants de Wade Robson et James Safechuck sont au centre de tous les débats. Les fervents défenseurs du roi de la pop, qui clament haut et fort son innocence, ont même souhaité porter plainte contre ce documentaire jugé scandaleux qui retrace durant plusieurs heures des détails scabreux d’agressions sexuelles et de viols répétés. Or, mardi dernier, Mike Smallcombe, un des biographes du défunt chanteur, a révélé par des faits précis qu’il y a de grosses incohérences et des mensonges de la part de James Safechuck. Pointé du doigt à nouveau, le cinéaste Dan Reed a finalement admis que certains faits relatés n’étaient pas authentiques. Il persiste malgré tout en insistant sur le fait que même si certaines erreurs de jugement ou de mémoire ont été faites, cela ne doit pas pour autant remettre en doute la véracité de la totalité du témoignage de la présumée victime. Oui bon, c’est facile de se défendre quand on clame avec fierté avoir travaillé dans ce projet depuis des années. Il n’empêche que cette affaire comporte trop de faits louches et non véridiques. Il y a de quoi être sceptique et ne pas prendre argent comptant tout ce qu’on entend !