On pensait avoir tout vu, tout lu, tout entendu sur Michael Jackson. Mais, on est encore loin du compte. La légende continue d’intriguer les curieux et plus on avance dans le temps, plus on en découvre davantage sur le mystère du King of Pop. Auteur, compositeur, interprète, danseur, chorégraphe... Michael était un artiste complet qui a dédié sa vie à son art. Mais l’aura étrange qui l’entourait n’a cessé de fasciner les esprits. Disparu à l’âge de 50 ans le 25 juin 2009, sa mort a touché des millions de gens. Des fans inconsolables toujours en quête du moindre détail sur son existence passée. Alors, forcément, la sortie du nouveau livre « Bad » fait déjà beaucoup de bruit. L’auteur y fait des révélations choc sur ses dernières heures. Et pour cause, Dylan Howard a réussi à mettre la main sur le journal intime de la star. On y apprend notamment que Michael rêvait d’être une star au cinéma : il prévoyait de réadapter des classiques du cinéma comme « 20 000 lieues sous les mers » ou « Le 7e voyage de Sinbad. « Si je ne me concentre pas sur le cinéma, pas d’immortalisation. », aurait-il écrit sur son journal. Car apparemment, mais ça ce n’est pas nouveau, il se voyait comme un « immortel ». Il souhaitait également enchaîner les dates de concerts à Las Vegas et gagner jusqu’à 20 millions de dollars par semaine et signer de juteux contrats avec des marques telles que Nike. Très méfiant vis-à-vis de son entourage financier, il comptait faire le ménage et reprendre le contrôle de son empire. On apprend encore que le chanteur était accro aux somnifères et au propofol, et ce depuis 1999. Or il mélangeait souvent des dizaines de médicaments avec de l’alcool. Son médecin, Dr Murray percevait même 100 000 dollars par mois pour accepter de lui administrer de telles doses médicamenteuses. C’est d’ailleurs la dernière prise par voie intraveineuse qui lui fut fatale en 2009. Il faut croire que ce cocktail explosif au fil des années a fini par le rendre paranoïaque : « J’ai peur que quelqu’un essaie de me tuer. Il y a des gens mauvais partout. Ils veulent me détruire et prendre ma maison d’édition. Le système veut me tuer », confie t’il à son journal. L’auteur du livre n’exclue d’ailleurs pas la thèse du suicide. « Bien que les faits de la disparition de Michael ne s’additionnent pas au suicide, ils révèlent certainement un homme désespéré qui s’est suicidé lentement en se droguant. Et ceux qui l’entouraient ont profité de son impuissance », souligne t’il. Très probable en effet…