On le sait, depuis quelques années, les solutions esthétiques non invasives ont la côte. Parmi les traitements les plus réputés, on retrouve l’incontournable « microneedling », un traitement mini-invasif qui stimule la production de collagène et d'élastine par l'organisme, à travers de minuscules perforations dans les différentes couches de la peau. Désormais, au Maroc, on vous dévoile la toute dernière génération de microneedling : le Nanopore Stylus 02.
Cette nouvelle technique associe tous les bénéfices du microneedling traditionnel physique aux nouvelles technologies d'encapsulation d'actifs, en plus d'une précision et d'une fluidité de pénétration inégalées. En effet, les aiguilles du Nanopore Stylus 02 peuvent atteindre des profondeurs de 1.5 mm, et une vitesse allant jusqu'à 200 Hz, garantissant alors des séances pratiquement indolores, avec un temps record de récupération. De plus, les petits puits créés par les 10 aiguilles en titane permettent aux différents actifs de pénétrer dans les couches les plus profondes de la peau avant de se refermer, sans cicatrices, après 10 minutes. « Les niveaux précis de pénétrations associés à la fréquence élevée permettent au Nanopore de traiter même les zones les plus sensibles », affirme Dr. Imane Slaoui, spécialiste en médecine anti-âge, médecine esthétique et micronutrition à Casablanca.
Et ça fonctionne ? Il s’avère que le Nanopore Stylus 02 excelle dans le traitement des signes du photovieillissement (rides, ridules), cernes, pores dilatés, cicatrices d'acné et vergetures. Il traite également les problèmes de l'alopécie et reste très efficace pour compléter les traitements d'hyperpigmentation, d'hypopigmentation, et de cellulite. Bien qu'un éclat soit visible dès la première séance, il est recommandé de suivre une cure d'au moins 3 séances pour obtenir des résultats optimaux.
Cette nouvelle méthode est disponible dans le cabinet du Dr. Imane Slaoui. L'addition du Nanopore Stylus 02 à son arsenal lui permet de répondre à la demande croissante des traitements mini-invasifs sans perturbation ni éviction sociale.
Par Nafissa El Bouanani
