Après avoir rompu ses fiançailles avec Max Ehrich, on ne s’attendait pas à la voir aussi rayonnante aux People’s Choice Awards. Et pourtant, malgré quelques kilos en trop et un passage radical au blond, la chanteuse de 28 ans semblait plus épanouie que jamais. Demi Lovato en a même profité pour faire de l’autodérision sur sa situation amoureuse : « Cette année fut les plus longues 3 années de ma vie. Ne vous méprenez pas, elle a commencé de façon incroyable! J’ai performé aux Grammys, j’ai chanté l’hymne national au Super Bowl. Mais ensuite, le Covid nous a frappés et tout a fermé, alors j’ai fait ce que tout le monde a fait. Je me suis confinée, puis fiancée... Je me suis intéressée à la peinture, la photo, la méditation [...] J’ai écouté 4 saisons de Pretty Little Liars, puis je me suis « défiancée »...», dit-elle en ouvrant le bal de la soirée. Elle était d’ailleurs très excitée d’avoir été choisie pour animer cet événement annuel très populaire.
Célibataire donc, mais néanmoins radieuse. Et en tant que maîtresse de cérémonie, elle a carrément assuré. Elle a envoûté le tapis rouge avec ses outfits tous plus flamboyants et brillants les uns des autres. Telle une icône de mode, son défilé de tenues à marqué les esprits : combinaison à sequins façon disco avec manches longues d'un rouge flamboyant, robe nude ornée de pierreries argentées et d'un décolleté plongeant, minirobe multicolore chatoyante, robe métallisée…des paillettes et de l’audace à profusion.
Notre coup de cœur : dans cette sublime et sexy robe noire (en photo), Demi brillait littéralement jusque dans le choix de ses bijoux. La star a en effet opté pour de somptueux bijoux de la marque de haute-joaillerie Messika. Elle a craqué pour la parure « Exotic Charm » qui incarne la belle collaboration entre l’ex-top Kate Moss et la designer Valérie Messika. Du collier époustouflant à la bague délicatement travaillée, en passant par les grosses boucles originales, ce sont des créations sensuelles et féminines, à l’allure contemporaine et aux accents couture. On craque aussi…
Par Nafissa El Bouanani