Après 33 ans sur le plateau du JT, Jean-Pierre Pernaut quitte le 13 Heures de TF1 !

Oh oui, l’année 2020 est pleine de surprises. En voilà une autre : Jean-Pierre Pernaut, l'un des visages mythiques de TF1, vient de tirer sa révérence. Ce monument de la télévision française a décidé de quitter son fauteuil du JT de 13 heures pour passer le flambeau à la nouvelle génération. Forcément, la nouvelle a fait l’effet d’une bombe : il faut dire que le journaliste de 70 ans occupe cette place depuis 1988, soit 33 ans de bons et loyaux services, et que sa popularité est plus intacte que jamais. Avec des audiences toujours au top, il a même été récemment sacré « Présentateur préféré des français » et détenait un vrai record de longévité à la télé. Autant dire que les téléspectateurs, bien longtemps bercés par sa voix, ont été bouleversés par cette nouvelle et n’arrivent pas à croire qu’ils ne verront plus son visage bienveillant au journal télévisé l’année prochaine. Eh oui, il faudra pourtant bien se faire une raison : le présentateur vedette, celui qu’on appelle le « boss » quittera son poste juste avant Noël. Mais qu’on se rassure, la retraite n’est pas encore d’actualité puisqu’il compte rester dans la famille de TF1. En effet, Jean-Pierre a décidé de se consacrer à d’autres projets qui lui tiennent à cœur au sein de la chaîne. « On prépare un nouveau grand magazine sur les richesses infinies de notre terroir, un nouveau programme digital où je vous retrouverai régulièrement comme dans une nouvelle émission qui me ressemblera sur LCI », a-t-il expliqué. « Le confinement a été l’occasion d’une prise de conscience pour moi. Je me suis dit que je n’aurai pas indéfiniment cette énergie et que je ne voulais pas attendre le moment où je serais obligé de ralentir. À un moment, il faut savoir s’arrêter et faire autre chose », poursuit le présentateur français. Une page historique se tourne donc pour TF1…et la question maintenant qui brûle toutes les lèvres : qui donc va bien pouvoir remplacer le grand Jean-Pierre Pernaut ?

 

Par Nafissa El Bouanani