Reese Witherspoon dans la ligne de mire des enseignantes…

L’actrice a appris à ses dépends que lorsqu’on fait une promesse, on doit la tenir coûte que coûte. Et surtout en assumer toutes les conséquences. Certes, tout le monde adore Reese Witherspoon, c’est une actrice talentueuse, une bonne mère de famille et surtout une militante engagée au grand cœur. Au début de la pandémie qui a lourdement envahi les Etats-Unis, la comédienne a souhaité contribuer à la solidarité générale en s’engageant à offrir des robes de marque « Draper James » aux enseignantes du pays. Seule condition : s’inscrire dans une plateforme et communiqués des données personnelles. Pas de souci, elles ont été nombreuses à avoir été séduites par cette campagne solidaire. Un peu trop même. Si bien que Reese a, malgré elle, ouvert la porte à 1 million d’entre elles. Gros hic : en stock, seules 250 robes étaient disponibles. Oups ! Un mauvais calcul qui lui a coûté cher. Du coup, plusieurs participantes, frustrées de n’avoir pas reçu leur robe ont porté plainte, accusant même la star d’avoir profité de la crise pour constituer un fichier client d’une grande valeur. Elles exigent toutes un dédommagement. « Cette plainte est une tentative injuste d’exploiter les bonnes intentions de Draper James qui était d’honorer la communauté des enseignantes en offrant des centaines de robes. Le fait que les stocks aient été limités, puisqu’il était impossible d’offrir une robe gratuite à toutes celles qui ont répondu, a été clairement communiqué et ne peut constituer la base de poursuites », a souligné l’avocat de la marque. Coup dur pour la jolie blonde qui n’avait pourtant que de bonnes intentions au départ…