Qui eut cru que Monsieur Dior était de ceux qui se laissaient guider dans la vie par la superstition ? À Paris, c’est en trouvant, au sol, une étoile un peu mystérieuse, qu'il décida d’ouvrir sa propre maison de couture, y voyant le signe de sa destinée. Et c’est de Paris ensuite, son étoile porte-bonheur en poche, qu’il partit découvrir le monde et présenter ses collections où, toujours, la rose, sa fleur fétiche, s’affichait en majesté...
Ce sont toutes ces histoires que l’on retrouve dans la collection Rose des Vents imaginée par Victoire de Castellane. « J’ai voulu partir de l’idée d’un petit pendentif à motif. Et quoi de plus allégorique qu’un médaillon ? »,précise la directrice artistique de Dior Joaillerie. « Derrière le symbole du voyage, on retrouve l’étoile de Christian Dior et l’idée d’un porte-bonheur, mais aussi la rose. Toute l’histoire de la maison est là, en filigrane. »
D’or jaune et de nacre, de lapis-lazuli ou de turquoise ou bien d’or rose et d’opale rose : ces bijoux ont la délicatesse d’une petite histoire que l’on raconte sur le ton de la confidence. Bracelets, colliers, sautoir… La collection décline le motif et élargit l’horizon du bijou médaillon. « Rose des vents, c’est aussi une métaphore de la création, poursuit la créatrice. Créer, c’est chercher, tourner en rond, et puis trouver son repère cardinal et partir en voyage... ».Car faire rêver par la voie de l'imagination n’est-elle pas la force des grands créateurs ?
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