A la tête de sa célèbre marque éponyme depuis 2008, l’épouse de l'ex-foorballeur David Beckham trône sur un bel empire financier. Pourtant, la designer de 46 ans s’est dite contrainte d’imposer le chômage partiel à 30 de ses employés en raison du coronavirus. Avec une fortune familiale estimée à 380 millions d'euros, la nouvelle est très mal passée. Posh a même été accusée de profiter du système, vu que le gouvernement britannique s’engage à verser 80% des salaires de ses employés dans le cadre du soutien envers les entreprises. Violemment taclée par les médias, critiquée sur les réseaux sociaux, la businesswoman a fini par faire son mea culpa en décidant de changer d’avis. Victoria a finalement annoncé qu'elle était revenue sur cette décision, qu’elle renonçait à mettre ses salariés au chômage partiel et qu'elle se préoccupait grandement du bien-être de ses équipes. « Nous ne nous appuierons pas sur le plan de congé du gouvernement. Au début du confinement, les actionnaires avaient convenu avec la direction générale de mettre au chômage partiel une petite proportion du personnel. À ce stade, nous ne savions pas combien de temps le confinement pourrait durer ni son impact probable sur l'entreprise. Le bien-être de mon équipe et de notre entreprise signifie tout pour moi. (...) Nous avons à présent reconsidéré cette option et nous acceptons qu'il existe une meilleure voie à suivre pour notre entreprise. Ce sont des moments difficiles et des décisions difficiles et nous ne faisons pas toujours les choses correctement - tout ce que nous pouvons dire, c'est que nous essayons de protéger notre entreprise et notre personnel», a-t-elle expliqué. Bonne décision !