Spectacle
Le « Show Man » d’Anthony Kavanagh
De l’humour, de la folie, de la tendresse et de l’amour, Anthony Kavanagh se dévoile sur la scène du Studio des Arts, et nous raconte le plus gros show du monde : La vie ! Car si la vie est un jeu, l’humoriste nous en donne les règles ! Il nous invite à vivre une expérience inédite : participer en avant-première à la création de son nouveau spectacle Show Man. Nos réactions et nos rires seront essentiels (et même très importants) pour la suite du show ! Un mix entre un show à l'américaine et l'intimité d'un diner en tête à tête avec l'humoriste !
Mercredi 27 janvier @ Studio des Arts Vivants, à partir de 200 DHS
Cinéma
« Les huit salopards », Quentin Tarentino
Amateurs de western, sortie cette semaine sur nos écrans du dernier film de Quentin Tarentino, « Les 8 salopards », avec Samuel L. Jackson, Kurt Russell, Jennifer Jason Leigh. Le film a détrôné cette semaine « Star Wars » au box-office français. Le pitch : en route vers Red Rock, les quatre personnages dont Tarantino suit la cavale se retrouvent piégés par le blizzard. Ils se voient obligés de se réfugier dans une auberge tenue par quatre hommes bien singuliers. S’en suit un scénario en huit-clos, exercice auquel Tarentino s'atèle pour la première fois, qui mêle rebondissements sanglants, histoire et politique.
Mercredi 20 janvier (sortie) @ Mégarama
Concert
Cheikh Ghassens chante Brassens
Qui des jeunes d’aujourd’hui écoute Brassens ? Qui connaît ses textes ? Qui les interprète ? Qui se souvient des deux oncles, de l’Auvergnat, de la brave Margot et des coups de foudre orageux ? Imaginez Brassens chanté en darija. Imaginez… Brassens par un marocain, imaginez-vous, vos enfants, vos proches, vos femmes et vos amants jouant Brassens, chantant Brassens… Cheikh Ghassens a rendez-vous avec vous dans une soirée dédiée à ce grand homme où les paroles prononcées en darija donnent une nouvelle vie, un nouveau sens et une seconde chance aux spectateurs nostalgiques de ces moments de magie où le texte trône et la musique n’est qu’un prétexte.
Samedi 23 janvier à 20H30 @ IFC
Conférence
"Qu'est-ce au juste le Big Bang" ?
Le Big Bang à l’origine de l’univers ? Les nouvelles théories aboutissent toutes à la conclusion qu’il n’y a pas d’instant zéro. C’est le cas en particulier de la théorie des cordes : le Big Bang ne serait alors qu’une phase de transition entre un univers en contraction et un univers en expansion. Grâce au satellite Planck, les astrophysiciens peuvent décrire l’univers tel qu’il était de 380 000 ans après le Big Bang jusqu’à aujourd’hui. Les physiciens des particules espèrent comprendre ce qu’il était avant. Explications avec Etienne Klein, l’un des plus brillants conférenciers scientifiques qui œuvre depuis longtemps pour ouvrir ses interventions au plus grand nombre.
Mardi 19 janvier @IFC, 19h30, entrée libre.
Expo photos
Exposition photographique de Hicham Gardaf
Composée d'une dizaine d'images grand format, cette première exposition monographique d'Hicham Gardaf au Maroc arrive à Casablanca après avoir été montrée à l'Institut français de Rabat, puis à la Galerie 127 à Marrakech."Hicham Gardaf est un jeune photographe de Tanger considéré à juste titre comme un des artistes parmi les plus prometteurs de sa génération. C’est à la librairie-galerie “Les insolites” de Tanger où il travaille qu’il découvre, à partir de 2010, au travers des livres d’art et de photographie et des artistes qui fréquentent le lieu, une pratique artistique qu’il va faire sienne, avant de s’engager en 2012 avec la Galerie 127 de Marrakech qui contribuera à l’installer sur la scène artistique nationale et internationale. L’institut du Monde Arabe à Paris, en présentant ses œuvres à l’occasion de la première édition d’une biennale de la photographie du monde arabe, consacrera justement la grande qualité d’une œuvre en germination.
Du 21 janvier au 28 février 2016 @ Musée de la Fondation Abderrahman Slaoui
Livre
«La lumière de l’aube »
Casa Expess Editions annonce la parution cette semaine du roman, «La lumière de l’aube », de l’auteur et romancier casablancais Mamoun LAHBABI. Aziz et Maha sont heureux. Mais en chacun d’eux vrille une tourmente : pour Aziz, c’est l’obsession inassouvie d’écrire un roman ; pour Maha, c’est l’amertume d’avoir perdu ses rêves d’adolescente. A travers l’incapacité de l’un et les désillusions de l’autre, c’est la vie d’un couple aux utopies éteintes qui est ici racontée, dans un pays où l’évolution de la société apporte son lot de contrastes. Mamoun Lahbabi est professeur à l’université Hassan II de Casablanca. « La lumière de l’aube » est son douzième roman.
100 dh, en librairies à partir du 22 janvier