Difficile d'ignorer cette tendance tant elle est cyclique, qui va et vient au fil des ans. Après le succès du tee-shirt estampillé « Hmar ou bikhir » qui a rendu célèbre Amine Bendriouich et celui que connaît depuis la marque locale Gazal, cette saison voit de nouveau éclore la vogue des pulls, sweats et autres « tish à mess’ ». Revendicatif (« Horria » clame la marque Chakouka), affirmant son appartenance citadine (« Habibi Casablanca », chez Postscriptum, « R’bati » chez Gazal), interrogatif (« Tennis anyone ? », chez Lacoste), humoristiques, optimistes ou plus grumpy… Bref, tout un panel de phrases plus ou moins bien senties, révélatrices d’un état d’esprit, pour faire passer le message.